
J’ai découvert l’écriture de Lilian Bathelot avec son magnifique « Simple mortelle » paru à La Manufacture de Livres, une écriture très mature, un roman ancré dans le genre qu’on appelle « rural noir » et qui a vu émerger des Franck Bouysse, pour n’en citer qu’un seul.
Quand j’ai vu que sortait en poche C’est l’inuit qui gardera le souvenir du Blanc, paru en grand format il y a près de quinze ans, je me suis dit que j’allais le lire, ne serait-ce que pour voir l’évolution.
Depuis quelques mois et encore...
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