
Il y a trois ans, je lisais Éric Plamondon pour la première fois. Son roman Taqawan était un petit trésor d’originalité.
Premier lauréat du Prix des Chroniqueurs de Toulouse Polars du Sud, ce petit roman a depuis fait son chemin, bientôt suivi par Oyana.
Oyana est un roman plus banal, plus plat mais a rencontré un public fidèle.
L’auteur revient en ce début d’année avec un recueil de trois nouvelles : Aller aux fraises.
Nous avons là trois tranches de vie, toutes les trois liées à la fin de l’adolescence et à la...
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