
Traduction de Claude Bleton.
Beaucoup d’entre vous le savent, j’ai fait partie pendant plusieurs années du staff de Toulouse Polars du Sud. Et quand on fréquente ce festival, on croise très souvent Victor Del Arbol.
J’en avais lu deux ou trois que j’avais plutôt appréciés : Le poids des morts, Les années Terribles, La tristesse du samouraï, Par-delà la pluie (que j’avais moins aimé).
On m’avait dit « La maison des chagrins est son meilleur ». Et bien, étant donné que je ne me fie qu’à mon...
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